La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1547)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode N°1544) -
Chapitre 16 : Etude anthropologique -
- Vas-y fonce, petit enculé des vignes !
Jétais allongé sur mon lit, nu, enfin presque
avec toujours cette cage de chasteté me contraignant ! Ça métait insupportable de ne pas me toucher, et paradoxalement ça métait agréable dêtre ainsi captif
un sentiment ambivalent. Mon intellect se grippait, je ne parvenais plus à analyser mes ressentis ! Seule chose certaine, mon cul restait béant, grand ouvert
ma main glissait sur ma raie anale, je me caressais lanus. Au contact de mes doigts, celui-ci ne se contractait pas, ne se resserrait pas, comme sil attendait, gourmand, une nouvelle pénétration. Pourtant jamais je navais vécu chose pareille, six grosses bites en une demi-heure à peine ! Un vrai gang-bang comme jamais je ne laurais imaginé. Jétais simplement éreinté, totalement accablé et courbatu, je navais quune seule envie : Me reposer ! Et bien entendu, ce qui devait arriver, arriva, on téléphone sonnait. Je décrochais sans même regarder le numéro qui saffichait.
- Bonjour, Monsieur Lapeyrière ?, me questionnait une voix féminine.
- Oui, bonjour, lui-même !
- Je ne vous dérange pas trop, Monsieur Lapeyrière ?
- Nullement.
- Je me présente, je suis Sabine Lafarge du cabinet de recrutement RSM, je vous appelle suite à votre C.V. reçu, concernant le poste de chargé daffaires viticoles à pourvoir sur Macon. Est-ce bien vous, Monsieur Lapeyrière, qui avez postulé à ce poste ?
- Tout à fait.
- Je voulais savoir si vous disposez de Skype pour un entretien à distance.
- Oui, jai Skype.
- Parfait, alors pouvons-nous convenir dun rendez-vous ?
- Bien sûr, je suis à votre disposition !
- Si je vous propose 18 heures aujourdhui, est-ce que ça peut vous convenir ?
- Entendu, oui pas de souci.
Cette voix était agréable et souriante
Je donnais mon identifiant Skype, elle minformait de lappel à lheure dite, dun certain Monsieur Davoust, lui mappellerait. Avant de raccrocher, elle me remerciait sincèrement de ma disponibilité. « Mon dieu, si cette brave femme savait ô combien jétais disponible » métais-je pensé en posant mon téléphone sur mon chevet, tout en me caressant de mon autre main, ma rondelle toujours dilatée
La fin daprès-midi venue, lentretien sétait, me semblait-il, super bien passé
Monsieur Davoust avait été charmant, très à lécoute, mavait dit que ma candidature lui semblait en parfaite adéquation avec le poste à pourvoir, quil allait donc transmettre mon CV à son client, que celui-ci me contacterait sous huitaine, sil retenait ma demande. Je me sentais serein, heureux, presque tranquille, tout au moins rassuré
jusquà ce nouvel sms en provenance du Château.
- A vingt heures précises, le Maître te veut en Sa noble Demeure. Tu y resteras autant de temps que nécessaire. Signé Monsieur Walter.
Aucun répit, daucune manière je pouvais savourer linstant présent, me reposer, me ressourcer, lire, écouter de la musique, faire ce que javais envie de faire
. Non, lomniprésence de Monsieur le Marquis mentravait, me restreignait, contrecarrait mes plans et mes envies, au moment même où je my attendais le moins. Pire encore, cétait de ne pas savoir ce que le Châtelain me réservait
En montant dans ma voiture, je me sentais fatigué, las, et devais-je me lavouer, pour la première fois, sans enthousiasme ni entrain pour regagner le Château. Néanmoins à 20 heures moins quelques minutes, je me présentais devant limmense grille de cette ancestrale Demeure. Le Majordome visiblement mattendait sur les marches du perron. Très vite, je me déshabillais dans mon véhicule. Dès que je fus entièrement nu et sorti de ma voiture, Monsieur Walter me hélait :
- Viens par ici, la pute, dépêche-toi !
Je le saluais respectueusement, alors que lui, sans un mot me plantait deux de ses longs doigts dans mon cul, tout juste refermé.
- Debout la salope !, mordonnait Madame Marie que je navais pas encore vu.
Humble, respectueux, silencieux, je me présentais devant elle avec crainte, connaissant son sadisme et sa perversité à outrance, alors quelle môtait sans précaution particulière ma cage de chasteté.
- Tends-moi tes mains, plutôt que de me tendre ta nouille comme tu le fais, sale pute !, me commandait-elle en me tirant les cheveux pour me soulever la tête et me gifler sans ménagement dune violentes paire de baffes fusant à la vitesse grand V.
Effectivement, je bandais, une érection dure et ferme, avec le gland baveux. Sans comprendre, la cuisinière me crachait sur la figure et menfilait des gants de cuir, munis sur le dessus, dune sangle en cuir quelle attachait et verrouillait avec des petits cadenas, de telle manière que je ne puisse les ôter.
- Empoigne ta nouille de chien et branle-toi, la lopette !, mordonnait-elle une fois encore dune voix très autoritaire.
Très vite, je ressentais de nouveau la grande perversité de cette rustre femme. Sur ces gants, un nombre incalculable de petites pointes saillantes sur l'extérieur sur chaque doigt et dans la paume minterdisant ainsi de me toucher et/ou de me masturber.
- Tu as compris de lutilité de ces gants, tu vas rester la nouille à lair, mais daucune manière tu es autorisé à te caresser ou te branler, petite putain.
Javais compris et me rassurais du fait que Madame Marie nexigeât point que je continue à me masturber, elle en aurait été largement capable, connaissant son sadisme. Elle mattrapait par mon collier et mentrainait vers cet espace vitré, dans lequel elle me faisait grimper puis entrer, par une lourde porte, elle aussi vitrée, pour my enfermer en me poussant prestement par un coup de pied sur le cul, de sa haute botte en cuir noir.
- Tu vas rester quelques jours ici, dans ce bocal, sale chienne
, que dis-je
pas une chienne
Juste un rat de laboratoire, un cobaye
, me disait-elle avant de verrouiller la porte !
Madame Marie éclatait dun rire moqueur et sadique, moi je frémissais. Dans ce bocal, comme lavait nommé la perverse cuisinière, fermé sur le dessus par une grille métallique ajourée, il métait impossible de tenir debout. Le sol était froid, vitré également. Un sceau transparent était à disposition pour mes besoins naturels. Jétais là, allongé, me sentant perdu, mais néprouvant ni colère, ni peine, ni tristesse, seule un sentiment dennui me gagnait. Jétais seul désormais depuis déjà un bon moment, pourtant je me sentais épié et observé. Jétais quasiment certain quil y avait des caméras un peu de partout dans cette pièce toujours intensément éclairée. Evidemment je me questionnais : « Combien de temps vas-tu rester là ?, Pour quelle raison timpose-t-on cet enfermement ? ». Ceux qui le savaient ne mavaient évidemment rien dit
Jarrivais tout de même et avec peine à mendormir mais lorsque je me réveillais, jétais surpris de voir un homme en blouse blanche, suivi de trois autres personnes, trois jeunes gens, deux hommes et une femme.
Les trois jeunes, avec chacun un carnet et un stylo en main, prenaient des notes. Ils ressemblaient en tout point à des étudiants en médecine. Chacun des protagonistes me regardaient intensément, lhomme en blouse blanche, sétait approché de la vitre et me dévisageait, semblait analyser chacun de mes mouvements de paupières, puis regardait et détaillait mon corps avec insistance. Je me sentais animal, une bête sauvage exhibée dans un zoo, me laissant dompter par la force des choses, inconsistant, impalpable mais contraint à leur voyeurisme insistant et à mon exhibition e. Qui plus est, il leur était possible de passer sous cette cage de verre, via un petit escalier menant sous ce podium, pour examiner ma bite semi flasque coincée et écrasée entre la paroi du sol entièrement vitrée et le poids de mon corps. Je le voyais discuter et montrer du bout de son index, mes parties génitales, à ceux que je considérais être ses étudiants.
- Assieds-toi salope, colle et ventouse bien ton trou du cul sur le sol verré, en écartant tes fesses !
(A suivre
)
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